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Tout a déjà été dit en long et large en travers, mais possesseur de ce bijoux depuis 3 mois...incontestablement DXO a réussi le mariage parfait entre qualité photo, compacité et intelligence logiciel. Quelque chose que les grandes maisons Nikon et Canon ont bien du mal à intégrer dans leur super DSLR à plus de 5000€.
Parmi les plus du DXO, une sensibilité équivalente à celle des DSLR d'entrée de gamme, une résolution de 20 Mo qui offre une bonne définition relatif à la taille du capteur cad 1"...et puis l'outil indispensable pour partir escapade sans se porter 2kg de matos..:) |
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Test complet du Nikon D5 par Réponse Photo
Le D5 est dans la continuité logique du D4s, il lui ressemble d’ailleurs beaucoup. Seule une comparaison côte à côté permet de relever des différences subtiles d’ergonomie, destinée à améliorer encore la prise en main et le pilotage des fonctions sur le terrain sans non plus perturber les habitués, ce type de boîtier devant être une extension de l’œil et non un obstacle. A 7000 €, c’est un boîtier pro classique avec son gabarit et sa double poignée, qui prend un peu de poids pour arriver à 1415 g. Le D5 est équipé d’un nouveau capteur 24x36 de 21 MP (20,7 pour être exact), ce qui donnera plus de latitude d’agrandissement et de recadrage que le D4s qui, lui, culminait à 16 MP. Couplé à un processeur de génération Expeed 5, il atteint des sensibilités records : 100 à 102 400 ISO en rendu photo, et jusqu’à 3 280 000 ISO ( !) en mode étendu. |
Nikon D5
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Test complet du D5 par Chasseur d'images
Toujours plus pro plus sensible et plus rapide... Un test extrêmement complet jusqu'au DXOMark. |
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Après Nikon, Canon et son dernier vaisseau amiral testé par Réponse Photo
Après Nikon et son D5 fraîchement moulu, c’est au tour de Canon de présenter son nouveau champion, avec les JO de Rio en point de mire. Lancé en 2011, l’EOS-1D X originel remettait à plat le reflex pro de la marque, avec des composants pour l’essentiel inédits. Cinq ans plus tard, l’évolution est moins spectaculaire. Comme son nom l’indique, ce nouveau boîtier est davantage une mise à jour qu’un véritable nouveau modèle. La coque est d’ailleurs en tous points identiques, à quelques micro-détails près, comme cette protubérance devant la griffe flash témoignant de l’intégration d’un mode GPS (le Wi-Fi reste quant à lui tributaire d’accessoires optionnels). Il faut dire que l’ergonomie du 1D X ne souffrait d’aucun reproche et qu’il aurait été dommage de faire du nouveau sans bonne raison. Les pros travaillant avec ce boîtier retrouveront ainsi leurs repères, tout en bénéficiant de certaines améliorations. |
Nikon D500 | Testé par Réponse Photo Le Nikon D500, l'APS-C au superlatifDe son côté, le D500 est envisagé comme le petit frère idéal pour les pros équipés d’un D5 qui souhaitent un second appareil plus léger, et offrant les avantages du DX (focales « rallongées »). En reprenant la formule abandonnée du D300s tout en l’améliorant drastiquement, le D500 constitue également un solide boîtier principal pour les amateurs éclairés ou les semi-pros pratiquant la photo sur le vif. A 2300 €, il est cependant 500 € plus cher que son concurrent Canon EOS 7D Mk II. A ce prix-là, on aura droit à de nombreuses technologies, voire à des composants directement issus du D5. L’autofocus est ainsi celui du D5, offrant, sur le format APS-C, une couverture presque totale du champ. Le miroir, équipé du même dispositif que celui du D5, peut atteindre 10 i/s (contre 7 i/s sur le D300s). Comme le D5, le D500 peut filmer en 4K, là aussi avec des limitations en termes de format (ratio de recadrage de 2,2x) et de durée (30 min max). |
DRONE | Les drones photo ! Pour ce dossier, Chasseur d'Images a fait appel à l'un des meilleurs spécialistes, journaliste qui utilise et pratique les drones toute l'année, mais qui est aussi allé au contact des dronistes professionnels, de ceux qui vivent de leurs images "aéroportées".
Le dossier est technique et pratique à la fois : on y compare les performances en vol et en images de quatre drones photo vidéo pour tous les budgets. Mais on est aussi très clairs sur la réglementation : même avec une licence professionnelle et un agrément DGAC, ne comptez pas trop promener votre drone au-dessus des zones habitées… l'espace aérien est très contrôlé. |
Canon EOS 5D-MarkIV | Le 5D Mark IV arrive avec un nouveau capteur 24x36 de 30 mégapixels que Canon crédite d'une plage dynamique importante. Nous ne manquerons pas, dès que possible, de vérifier ce point, car au vu de ce que propose le 1Dx Mark II, le 5D Mark IV peut nous réserver de bonnes surprises.
La rafale monte à 7 images/seconde, loin donc des 14 i/s du 1Dx Mark II, mais avec ses images de 30 Mpix, le 5D IV offre un excellent compromis entre réactivité et haute définition. L'autofocus possède 61 collimateurs dont 21 fonctionnant à f/8 et la mesure de lumière est confiée au même module 150.000 pixels RVB IR que celui du 1Dx II qui évalue ici 252 zones différentes. La vidéo est au format 4K (30p) avec enregistrement interne. La sortie HDMI permet de sortir un signal non compressé, mais uniquement en Full HD (pas en 4K). Un ralenti 120 i/s est disponible au format HD720. Étrangement, certaines fonctions vidéo (zebra ou focus peaking par exemple) sont absentes. Le processeur est un Digic 6+ assisté d'un Digic 6 et d'un processeur spécialisé dédié aux corrections optiques embarquées. Celles-ci ont fait l'objet d'un soin particulier, même des aberrations aussi spécifiques que la coma sont prises en compte directement par le boîtier. Cette puissance de traitement (ainsi qu'un signal capteur probablement assez propre) permet d'annoncer une sensibilité "standard" de 32.000 ISO avec une extension à 102.400 ISO. |